KOKOCZINSKI Georgette : Différence entre versions
Sauter à la navigation
Sauter à la recherche
(Page créée avec « Selon les recherches faites par l’équipe des Giménologues, Georgette Kokoczinski, nom de son mari (le sien étant inconnu), était une militante anarchiste. Elle ét... ») |
|||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
| − | Selon les recherches faites par l’équipe des Giménologues, Georgette Kokoczinski | + | Selon les recherches faites par l’équipe des Giménologues, Georgette Kokoczinski (nom de son mari, le sien étant inconnu), était une militante anarchiste. |
| − | Elle était surnommée Mimosa, son nom de scène car « elle prêtait son concours aux fêtes et manifestations culturelles anarchistes » (livre cité, p 241). | + | Elle était surnommée Mimosa, son nom de scène car « elle prêtait son concours aux fêtes et manifestations culturelles anarchistes » (livre cité, p. 241). |
Georgette Kokoczinki était titulaire d’un diplôme d’infirmière. | Georgette Kokoczinki était titulaire d’un diplôme d’infirmière. | ||
==l’Espagne== | ==l’Espagne== | ||
| − | Agée de 27 ans, Georgette | + | Agée de 27 ans, Georgette Kokoczinski part pour l'Espagne le 18 septembre 1936 et s’engage dans le groupe international de la colonne Durruti. |
Elle est tuée le 16 octobre 1936 lors des combats de Perdiguera. | Elle est tuée le 16 octobre 1936 lors des combats de Perdiguera. | ||
Version actuelle datée du 19 octobre 2018 à 18:57
Selon les recherches faites par l’équipe des Giménologues, Georgette Kokoczinski (nom de son mari, le sien étant inconnu), était une militante anarchiste.
Elle était surnommée Mimosa, son nom de scène car « elle prêtait son concours aux fêtes et manifestations culturelles anarchistes » (livre cité, p. 241).
Georgette Kokoczinki était titulaire d’un diplôme d’infirmière.
l’Espagne
Agée de 27 ans, Georgette Kokoczinski part pour l'Espagne le 18 septembre 1936 et s’engage dans le groupe international de la colonne Durruti.
Elle est tuée le 16 octobre 1936 lors des combats de Perdiguera.
Sources
Gimenez, les Giménologues, Les fils de la nuit, L’insomniaque, Montreuil-Marseille, 2006
