INTILIA, Guillaume (Guglielmo) : Différence entre versions

De Encyclopédie : Brigades Internationales,volontaires français et immigrés en Espagne (1936-1939)
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Guillaume Intilia, dit Bénito, fils de Guglielmo et Lucia Cella, est né le 7 septembre 1913 à Arta (Italie).
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Guillaume Intilia, dit Benito, fils de Guglielmo et Lucia Cella, est né le 7 septembre 1913 à Arta (Italie).
  
 
Arrivé en France en 1925, il exerce le métier de maçon.  
 
Arrivé en France en 1925, il exerce le métier de maçon.  
 
Militant communiste, il est arrêté lors des grandes manifestations de Février 1934.
 
Militant communiste, il est arrêté lors des grandes manifestations de Février 1934.
 
==L’Espagne==
 
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Il est un des premiers volontaires italiens à partir combattre en Espagne. Le 30 aout 1936, il est blessé lors de combats dans la zone de Talavera.
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Il est un des premiers volontaires italiens à partir combattre en Espagne. Le 30 août 1936, il est blessé lors de combats dans la zone de Talavera.
 
Guéri, il est alors incorporé au [[Bataillon Garibaldi]] de la 12 <sup>e</sup> BI. Il deviendra chef de section puis lieutenant.
 
Guéri, il est alors incorporé au [[Bataillon Garibaldi]] de la 12 <sup>e</sup> BI. Il deviendra chef de section puis lieutenant.
  

Version actuelle datée du 16 mai 2024 à 23:01

Guillaume Intilia, dit Benito, fils de Guglielmo et Lucia Cella, est né le 7 septembre 1913 à Arta (Italie).

Arrivé en France en 1925, il exerce le métier de maçon. Militant communiste, il est arrêté lors des grandes manifestations de Février 1934.

L’Espagne

Il est un des premiers volontaires italiens à partir combattre en Espagne. Le 30 août 1936, il est blessé lors de combats dans la zone de Talavera. Guéri, il est alors incorporé au Bataillon Garibaldi de la 12 e BI. Il deviendra chef de section puis lieutenant.

Blessé à Pozuelo par l’explosion de sa musette, chargée de grenades, il perd l’œil gauche et doit subir l’amputation des deux avant-bras. De retour en France, en juin 1938, il fait partie des volontaires envoyés en URSS pour y être soignés. Là, il participera à de nombreuses transmissions radiophoniques vers l’Italie.

A la fin de la guerre, il rentrera en Italie.

Sources

RGASPI (F.545. Op.2 D.303. et Op.6 D.31.) - AICVAS, ‘’La Spagna nel nostro cuore’’, Milano, 1996