CHÊNE François : Différence entre versions
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« A Brunete, il eut la tête traversée par une balle qui le laissa aveugle. C’est à la suite de cette grave blessure, que la mort vient de l’arracher aux siens. » | « A Brunete, il eut la tête traversée par une balle qui le laissa aveugle. C’est à la suite de cette grave blessure, que la mort vient de l’arracher aux siens. » | ||
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Décédé à l’Hôpital de la Pitié (Paris), il est inhumé au cimetière de Thiais (Seine). | Décédé à l’Hôpital de la Pitié (Paris), il est inhumé au cimetière de Thiais (Seine). | ||
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− | L’Humanité, 24 novembre 1938. | + | ''L’Humanité'', 24 novembre 1938. |
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Version actuelle datée du 29 septembre 2018 à 18:12
Un communiqué de l’AVER, publié dans l’Humanité du jeudi 24 novembre 1938 sous le titre « Un combattant de la liberté succombe à la suite de ses blessures », signale son décès « à la suite d’une grave blessure reçue sur le front de la liberté à Brunete le 23 juillet [1937] ».
« A Brunete, il eut la tête traversée par une balle qui le laissa aveugle. C’est à la suite de cette grave blessure, que la mort vient de l’arracher aux siens. »
François Chêne était parti en novembre 1936, « au moment où le sort de Madrid se décidait ».
Décédé à l’Hôpital de la Pitié (Paris), il est inhumé au cimetière de Thiais (Seine).
Source
L’Humanité, 24 novembre 1938.