RIBIERE François : Différence entre versions
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| − | Il participe aux combats du front d'Aragon du 17 mars au 30 mai au cours desquels il subit une première blessure (foulure au pied). Du 26 juillet au 18 septembre, | + | Il participe aux combats du front d'Aragon du 17 mars au 30 mai au cours desquels il subit une première blessure (foulure au pied). Du 26 juillet au 18 septembre, il prend part à la [[Bataille de l’Ebre]]. Il est blessé à Corbera, cette fois à la tête, par de la mitraille. Il sera hospitalisé du 18 septembre au 15 octobre à Reus, Gerona puis Farnes de la Selva. |
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==Sources== | ==Sources== | ||
| − | Archives de la Haute-Vienne | + | Archives de la Haute-Vienne - RGASPI (Moscou, F. 545. Op. 2. D. 303 et Op. 6. D 1373 et 451) |
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[[Catégorie: Arrivée en Espagne: Février 1938]] [[Catégorie: 14e BI]] [[Catégorie: Blessés]] | [[Catégorie: Arrivée en Espagne: Février 1938]] [[Catégorie: 14e BI]] [[Catégorie: Blessés]] | ||
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François RIBIERE est né le 13 mars 1905 à Saint-Léonard-de-Noblat (Haute-Vienne). Son père était cultivateur à Soumagnes (commune de Saint-Léonard-de-Noblat).
Il a effectué son service militaire dans l’Infanterie.
Cultivateur au Masjoubert, commune d'Augne (Haute-Vienne), il adhère au PCF en janvier 1936.
Célibataire, lors de son départ pour l'Espagne, il demeurait à Saint-Léonard-de-Noblat (Haute-Vienne).
L'Espagne
Il franchit illégalement la frontière (voir article Passage clandestin des Pyrénées) avec un groupe de volontaires, dont Léonard Célerier Léonard CELERIER originaire du même village que lui et rejoint Figueras, via Agullana, le 25 févier 1938. Le 3 mars, il est envoyé à Albacete.
Aprés être passé par le C.R.I.M, il est affecté à la 14e BI, au Bataillon Henri Barbusse, puis au Bataillon Vaillant-Couturier, 3e Compagnie, comme chargeur au fusil-mitrailleur.
Il participe aux combats du front d'Aragon du 17 mars au 30 mai au cours desquels il subit une première blessure (foulure au pied). Du 26 juillet au 18 septembre, il prend part à la Bataille de l’Ebre. Il est blessé à Corbera, cette fois à la tête, par de la mitraille. Il sera hospitalisé du 18 septembre au 15 octobre à Reus, Gerona puis Farnes de la Selva.
Le retour
Selon une lettre de la préfecture de la Haute-Vienne, datée du 3 janvier 1939, François Ribière rentre en France, par Cerbère, le 30 décembre 1938. Le 31, il arrive à Limoges.
Sources
Archives de la Haute-Vienne - RGASPI (Moscou, F. 545. Op. 2. D. 303 et Op. 6. D 1373 et 451)
