CARCAVILLE Jean : Différence entre versions
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| + | Il lui est reproché d’avoir organisé « avec 5 camarades une réunion qui proposa au commandant du bataillon de le nommer commandant de la compagnie de mitrailleurs. Ils [proposèrent] d’examiner les capacités militaires des officiers récemment nommés, étant d’avis qu’on avait pas nommé les meilleurs camarades ». | ||
==Source== | ==Source== | ||
| − | RGASPI (BDIC, Mfm 880/8, 545.6.1109) | + | RGASPI (BDIC, Mfm 880/8, 545.6.1109) - RGASPI (Moscou, F. 545. Op. 3. D. 696) |
| − | [[Catégorie: Brigadistes]] [[Catégorie: Age: 31 à 39 ans]] [[Catégorie: Mécanicien]][[Catégorie: CGT]] [[Catégorie: Reims]][[Catégorie: Arrivée en Espagne: Janvier 1937]] [[Catégorie:15e BI]][[Catégorie:86e BM]] | + | [[Catégorie: Brigadistes]] [[Catégorie: Age: 31 à 39 ans]] [[Catégorie: Mécanicien]] [[Catégorie: CGT]] [[Catégorie: Reims]] [[Catégorie: Arrivée en Espagne: Janvier 1937]] [[Catégorie: 15e BI]] [[Catégorie: 86e BM]] |
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Jean Carcaville est né en 1903.
Mécanicien, il a adhéré à la CGT en 1936.
Avant son départ, il était domicilié à Reims (Marne)
L’Espagne
Arrivé en Espagne le 6 janvier 1937, il est affecté à la 15e BI.
Le 29 septembre 1937, il est arrêté pour ivresse (voir Boisson) et gros scandale.
Une note du service de santé des Brigades datée de 1937 le déclare "âgé de 36 ans, atteint de paludisme (récidive, la dernière crise il y a 3 ans). Bronchite guérie. 10 jours de repos à Benicassim."
Le rapport de l’état-major du 2e Bataillon international de la 86e Brigade, daté de 1938 et signé, à Hinojosa del Duque, par le Colonel I.B. Gomez et P.Temple, commissaire politique, propose la dégradation de Jean Carcaville au motif qu’il « est un ivrogne. [Il] fut emprisonné à Puertollano, deux fois parce qu’il était soul. Au front, il était vaillant et se battait bien. Pour cette dernière raison, il fut nommé lieutenant. Arrivé à Dos Torres, il commença de nouveau à se saouler et fut mis en prison pour cette raison deux fois »(voir sanctions).
Il lui est reproché d’avoir organisé « avec 5 camarades une réunion qui proposa au commandant du bataillon de le nommer commandant de la compagnie de mitrailleurs. Ils [proposèrent] d’examiner les capacités militaires des officiers récemment nommés, étant d’avis qu’on avait pas nommé les meilleurs camarades ».
Source
RGASPI (BDIC, Mfm 880/8, 545.6.1109) - RGASPI (Moscou, F. 545. Op. 3. D. 696)
