CHÊNE François : Différence entre versions
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− | + | François Chêne, grièvement blessé, est rapatrié le 1<sup>er</sup> février 1938. | |
− | « A Brunete, il eut la tête traversée par une balle qui le laissa aveugle. C’est à la suite de cette grave blessure, que la mort vient de l’arracher aux siens. » | + | Un communiqué de l’[[AVER]], publié dans ''l’Humanité'' du jeudi 24 novembre 1938 sous le titre « Un combattant de la liberté succombe à la suite de ses blessures », signale son décès « à la suite d’une grave blessure reçue sur le front de la liberté à Brunete le 23 juillet 1937 ». |
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François Chêne était parti en novembre 1936, « au moment où le sort de Madrid se décidait ». | François Chêne était parti en novembre 1936, « au moment où le sort de Madrid se décidait ». | ||
Décédé à l’Hôpital de la Pitié (Paris), il est inhumé au cimetière de Thiais (Seine). | Décédé à l’Hôpital de la Pitié (Paris), il est inhumé au cimetière de Thiais (Seine). | ||
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− | ''L’Humanité'', 24 novembre 1938. | + | François Chêne ne figure pas sur la liste « In Memoriam » « Honneur à la mémoire de nos Héros », publiée par l’[[AVER]] (''Epopée d’Espagne''). |
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+ | RGASPI (Moscou, F.545, op.2, d.290) - ''L’Humanité'', 24 novembre 1938. | ||
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Version du 3 octobre 2025 à 18:30
François Chêne, grièvement blessé, est rapatrié le 1er février 1938.
Un communiqué de l’AVER, publié dans l’Humanité du jeudi 24 novembre 1938 sous le titre « Un combattant de la liberté succombe à la suite de ses blessures », signale son décès « à la suite d’une grave blessure reçue sur le front de la liberté à Brunete le 23 juillet 1937 ».
« A Brunete, il eut la tête traversée par une balle qui le laissa aveugle. C’est à la suite de cette grave blessure, que la mort vient de l’arracher aux siens. »
François Chêne était parti en novembre 1936, « au moment où le sort de Madrid se décidait ».
Décédé à l’Hôpital de la Pitié (Paris), il est inhumé au cimetière de Thiais (Seine).
François Chêne ne figure pas sur la liste « In Memoriam » « Honneur à la mémoire de nos Héros », publiée par l’AVER (Epopée d’Espagne).
Sources
RGASPI (Moscou, F.545, op.2, d.290) - L’Humanité, 24 novembre 1938.