ACHALME Georges : Différence entre versions
(Une révision intermédiaire par un autre utilisateur non affichée) | |||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
Georges Achalme est né le 6 janvier 1910 à Bagnolet (Seine). | Georges Achalme est né le 6 janvier 1910 à Bagnolet (Seine). | ||
− | Selon les documents consultés, il était soit opérateur de cinéma (document de la 13<sup>e</sup> BI) soit employé des postes (''Gens de Bagnolet'', p 217). | + | Selon les documents consultés, il était soit opérateur de cinéma (document de la 13<sup>e</sup> BI) soit employé des postes (''Gens de Bagnolet'', p. 217). |
− | Célibataire, il demeurait 109, avenue | + | Célibataire, il demeurait 109, avenue Galliéni à Bagnolet (Seine). |
==L’Espagne== | ==L’Espagne== | ||
Il arrive en Espagne le 21 novembre 1936. | Il arrive en Espagne le 21 novembre 1936. | ||
− | Affecté à compagnie des Transmissions de la 13<sup>e</sup> BI, il participe aux combats de Teruel, à ceux du front du Sud (Malaga, Cordoba) ainsi qu’à ceux de Brunete, où le 26 juillet 1937, il est blessé par deux éclats | + | Affecté à la compagnie des Transmissions de la 13<sup>e</sup> BI, il participe aux combats de Teruel, à ceux du front du Sud (Malaga, Cordoba) ainsi qu’à ceux de Brunete, où le 26 juillet 1937, il est blessé par deux éclats au bras droit. Il est hospitalisé au [[Palace Hôtel (Madrid)]]. |
− | + | Il figure sur la liste, datée du 16 septembre 1937, des volontaires rapatriés, car il doit subir une opération en France. | |
− | Selon le témoignage d’ [[ROBERT_Yvonne|Yvonne ROBERT, voir biographie)]], la famille a hébergé des brigadistes illégaux en France : « La famille Achalme, dans les Coutures, a hébergé et adopté un camarade bulgare, malade qui a décédé par la suite à Tenon » (''Gens de Bagnolet'', p 54) | + | Une courte appréciation précise que c'est un "assez bon Cde ; sérieux." |
+ | |||
+ | Selon le témoignage d’ [[ROBERT_Yvonne|Yvonne ROBERT, (voir biographie)]], la famille a hébergé des brigadistes illégaux en France : « La famille Achalme, dans les Coutures, a hébergé et adopté un camarade bulgare, malade qui a décédé par la suite à Tenon » (''Gens de Bagnolet'', p 54). | ||
==Sources== | ==Sources== | ||
− | RGASPI (BDIC, Mfm 2 bis, 545.6.104) et (Moscou, F. 545. Op. 3. D. 370.) | + | RGASPI (BDIC, Mfm 2 bis, 545.6.104) et (Moscou, F. 545. Op.2 D.11. et Op.3. D. 370.) |
− | ''Gens de Bagnolet'', Mairie de Bagnolet, 1994 | + | |
− | [[Catégorie: Brigadistes]] [[Catégorie: Age: 26 à 30 ans]] [[Catégorie: Célibataire]] [[Catégorie: Bagnolet]] [[Catégorie: Arrivée en Espagne: Novembre 1936]] [[Catégorie: 13e BI]] | + | ''Gens de Bagnolet'', Mairie de Bagnolet, 1994. |
+ | [[Catégorie: Brigadistes]] [[Catégorie: Age: 26 à 30 ans]] [[Catégorie: Célibataire]] [[Catégorie: Bagnolet]] [[Catégorie: Arrivée en Espagne: Novembre 1936]] [[Catégorie: 13e BI]] [[Catégorie: Blessés]] |
Version actuelle datée du 23 mars 2021 à 22:04
Georges Achalme est né le 6 janvier 1910 à Bagnolet (Seine).
Selon les documents consultés, il était soit opérateur de cinéma (document de la 13e BI) soit employé des postes (Gens de Bagnolet, p. 217).
Célibataire, il demeurait 109, avenue Galliéni à Bagnolet (Seine).
L’Espagne
Il arrive en Espagne le 21 novembre 1936.
Affecté à la compagnie des Transmissions de la 13e BI, il participe aux combats de Teruel, à ceux du front du Sud (Malaga, Cordoba) ainsi qu’à ceux de Brunete, où le 26 juillet 1937, il est blessé par deux éclats au bras droit. Il est hospitalisé au Palace Hôtel (Madrid).
Il figure sur la liste, datée du 16 septembre 1937, des volontaires rapatriés, car il doit subir une opération en France.
Une courte appréciation précise que c'est un "assez bon Cde ; sérieux."
Selon le témoignage d’ Yvonne ROBERT, (voir biographie), la famille a hébergé des brigadistes illégaux en France : « La famille Achalme, dans les Coutures, a hébergé et adopté un camarade bulgare, malade qui a décédé par la suite à Tenon » (Gens de Bagnolet, p 54).
Sources
RGASPI (BDIC, Mfm 2 bis, 545.6.104) et (Moscou, F. 545. Op.2 D.11. et Op.3. D. 370.)
Gens de Bagnolet, Mairie de Bagnolet, 1994.