BILARD Pierre : Différence entre versions
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| − | "Depuis son arrivée en Espagne, ce camarade a toujours eu ici une attitude exemplaire. Il chercha à se rendre utile et fut désigné par nous comme responsable de la cantine de la caserne. Durant tout son séjour parmi nous, il fut toujours discipliné et digne ainsi de la confiance mise en lui par son organisation. | + | ==L'Espagne== |
| − | Recommandé par le secrétaire de cellule de Paris-ouest." | + | Après avoir franchi illégalement la frontière (voir article [[Passage clandestin des Pyrénées]]), Pierre Bilard arrive à [[Figueras]], via Agullana, le 25 février 1938. Exempté par la commission médicale, il est renvoyé en France le 18 mars. |
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Rapport médical adressé au camarade Guidais. | Rapport médical adressé au camarade Guidais. | ||
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Version actuelle datée du 13 janvier 2018 à 18:42
Le volontaire BILARD Pierre est né le 20 août 1903 à Chateaubriand (Loire-Inférieure).
Il a servi dans la marine de guerre française pendant 18 mois. Il était membre du PCF, section de Suresnes, depuis 1935, membre du comité de section et trésorier du comité d'usine. Syndiqué à la CGT des métaux également depuis 1935.
Marié, il demeurait à Suresnes (Seine), 55, rue de la Liberté.
L'Espagne
Après avoir franchi illégalement la frontière (voir article Passage clandestin des Pyrénées), Pierre Bilard arrive à Figueras, via Agullana, le 25 février 1938. Exempté par la commission médicale, il est renvoyé en France le 18 mars.
Rapport sur le camarade Bilard Pierre:
"Depuis son arrivée en Espagne, ce camarade a toujours eu ici une attitude exemplaire. Il chercha à se rendre utile et fut désigné par nous comme responsable de la cantine de la caserne. Durant tout son séjour parmi nous, il fut toujours discipliné et digne ainsi de la confiance mise en lui par son organisation. Recommandé par le secrétaire de cellule de Paris-ouest."
Rapport médical adressé au camarade Guidais.
"Mon cher Camarade, Le camarade Bilard a un cœur très rapide. Je ne le crois pas capable de supporter de trop grandes fatigues. Mais on ne peut dire qu'il soit malade. Bien fraternellement, Valerin."
Source
RGASPI (BDIC, Mfm 880/6, 545.6.1081)
RGASPI (Moscou, F. 545. Op. 6. D. 36.)
