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De Encyclopédie : Brigades Internationales,volontaires français et immigrés en Espagne (1936-1939)
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Il a fait des études primaires et effectué son service militaire comme 2° classe dans l'Infanterie de 1933 à 1934.
  
Plombier, maçon de profession, célibataire et sans enfants, au moment de son départ en Espagne, il résidait rue Mundetter à Saint-Leu-la-Forêt (Seine-et-Oise).
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Plombier, maçon de profession, célibataire et sans enfants, au moment de son départ pour l'Espagne, il résidait rue Mundetter à Saint-Leu-la-Forêt (Seine-et-Oise).
 
==L'Espagne==
 
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Il s'incorpore aux Brigades le 10 janvier 1937.
 
Il s'incorpore aux Brigades le 10 janvier 1937.
  
D'abord affecté à la 15°BI, au 15° bataillon, il est blessé à la bataille de Jarama et hospitalisé du 13 février au 28 avril 1937.
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Le 2 mai 1937, il intègre la 35° Division et, le 16 juin 1937, il est affecté à la 14° BI, d'abord a la [[Compagnie des Pionniers]] et ensuite aux Zapadores.
  
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Il a également participé aux batailles de Santa Maria de la Alameda et de Valsain.
  
 
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Version du 16 juin 2015 à 23:04

Ce volontaire est né le 1° août 1913.

Il a fait des études primaires et effectué son service militaire comme 2° classe dans l'Infanterie de 1933 à 1934.

Plombier, maçon de profession, célibataire et sans enfants, au moment de son départ pour l'Espagne, il résidait rue Mundetter à Saint-Leu-la-Forêt (Seine-et-Oise).

L'Espagne

Il s'incorpore aux Brigades le 10 janvier 1937.

D'abord affecté à la 15° BI, 15° Bataillon, il est blessé à la bataille de Jarama et hospitalisé du 13 février au 28 avril 1937.

Le 2 mai 1937, il intègre la 35° Division et, le 16 juin 1937, il est affecté à la 14° BI, d'abord a la Compagnie des Pionniers et ensuite aux Zapadores.

Il a également participé aux batailles de Santa Maria de la Alameda et de Valsain.

Dans une note signée Bigouret, non datée, il est précisé qu'il n'est pas membre du parti. Sa conduite est qualifiée de « bonne ». Il a fait preuve d'une « assez bonne volonté dans son travail » mais ne s'est pas montré « assez sérieux ». Il est décrit comme « ordinaire, sans activité politique » se laissant « facilement décourager » mais ayant « une conduite personnelle assez bonne » et « courageux » « bon camarade » et « bon antifasciste ».

Son nom figure sur une note renvoyant à l'OJ n° 232.

Source

RGASPI (BDIC, Mfm 880/12, 545.6.1149).