CAILLON André Roger : Différence entre versions
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| − | Lamineur, il | + | Lamineur de profession, il était membre de la CGT. |
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| − | Arrivé en Espagne le 22 avril 1938, il est affecté à la | + | Arrivé en Espagne le 22 avril 1938, il est affecté à la 14<sup>e</sup> BI, 4<sup>e</sup> Bataillon (Henri Barbusse), Compagnie de mitrailleuses. |
| − | Il | + | Il est présent au front du 19 mai au 7 juillet 1938 et du 29 juillet au 21 septembre. |
| − | Blessé au poignet le 21 septembre 1938, à Gandesa, au cours de l’attaque, il est hospitalisé à l’hôpital de | + | Blessé au poignet le 21 septembre 1938, à Gandesa, au cours de l’attaque, il est hospitalisé à l’hôpital de Vich jusqu’au 12 novembre. |
| − | Le rapport du commissaire politique Bigouret du 20 octobre | + | Le rapport du commissaire politique Bigouret du 20 octobre 19<sup>3</sup>8 indique qu’il « s’est bien conduit au front ainsi qu’à l’arrière » et que sa conduite est bonne, « il est discipliné, sobre, courageux, très estimé parmi ses camarades ». |
Une note manuscrite indique « bon, cherche à s’éduquer ». | Une note manuscrite indique « bon, cherche à s’éduquer ». | ||
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A la question sur le rôle des BI, André Caillon répond « pour maintenir le fascisme en échec ». | A la question sur le rôle des BI, André Caillon répond « pour maintenir le fascisme en échec ». | ||
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Version du 2 juin 2016 à 14:55
André Caillon est né le 29 juillet 1912 à Paris.
Après des études primaires, il a effectué son service militaire en 1933 comme planton au 1e groupe d’aviation.
Lamineur de profession, il était membre de la CGT.
Adhérent du PCF depuis 1932, il est devenu secrétaire de cellule en novembre 1936.
Avant son départ pour l’Espagne, il était domicilié 75, avenue Ernest Havet à Vitry-sur-Seine (Seine).
L’Espagne
Arrivé en Espagne le 22 avril 1938, il est affecté à la 14e BI, 4e Bataillon (Henri Barbusse), Compagnie de mitrailleuses.
Il est présent au front du 19 mai au 7 juillet 1938 et du 29 juillet au 21 septembre.
Blessé au poignet le 21 septembre 1938, à Gandesa, au cours de l’attaque, il est hospitalisé à l’hôpital de Vich jusqu’au 12 novembre.
Le rapport du commissaire politique Bigouret du 20 octobre 1938 indique qu’il « s’est bien conduit au front ainsi qu’à l’arrière » et que sa conduite est bonne, « il est discipliné, sobre, courageux, très estimé parmi ses camarades ».
Une note manuscrite indique « bon, cherche à s’éduquer ».
A la question sur le rôle des BI, André Caillon répond « pour maintenir le fascisme en échec ».
Source
RGASPI (BDIC, Mfm 880/8, 545.6.1107).
