CADOT André : Différence entre versions

De Encyclopédie : Brigades Internationales,volontaires français et immigrés en Espagne (1936-1939)
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Félicité par le commandant Boursier « pour l’énergie de l’attaque » il a été cité à l’ordre du jour de la brigade, le 7 janvier 1937 à Algora,  parce que,  dit-il, « j’ai déchargé les munitions de sur les mulets avant le barrage d’artillerie et j’aitait volontaire ».
 
Félicité par le commandant Boursier « pour l’énergie de l’attaque » il a été cité à l’ordre du jour de la brigade, le 7 janvier 1937 à Algora,  parce que,  dit-il, « j’ai déchargé les munitions de sur les mulets avant le barrage d’artillerie et j’aitait volontaire ».
  
Après 5 mois de convalescence en France, il revient en Espagne le 26 novembre 1937. Après passage devant la commission médicale, il est affecté aux services auxiliaires à l’arrière.
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Après 5 mois de convalescence en France, il revient en Espagne le 26 novembre 1937. Suite à son passage devant la commission médicale, il est affecté aux services auxiliaires, à l’arrière.
  
 
Une note signée du chef de section Maranzé (orthographe incertaine) datée du 13 décembre 1937, indique qu’il est « actuellement à la banque d’Espagne en attendant une affectation comme cuisinier ».
 
Une note signée du chef de section Maranzé (orthographe incertaine) datée du 13 décembre 1937, indique qu’il est « actuellement à la banque d’Espagne en attendant une affectation comme cuisinier ».

Version du 10 mars 2016 à 23:35

André Cadot est vraisemblablement né en 1900.

Il a effectué son service militaire comme mitrailleur.

Il exerçait la profession de vannier et était membre de la CGT.

Célibataire, il demeurait, lors de son départ pour l’Espagne, 14, rue Emery Bethisy à Saint-Pierre-ès-Champs (Oise)

L’Espagne

André Cadot arrive en Espagne le 20 novembre 1936 « pour la cause de la liberté ».

Affecté à la 12e BI, il est blessé le 7 janvier 1937 pendant un pilonnage d’artillerie à Algora (omoplate gauche, poumon gauche, bras gauche).

Hospitalisé à l’hôpital de Guadalajara puis à celui de Murcie, il est rapatrié sanitaire en France le 16 juin 1937.

Félicité par le commandant Boursier « pour l’énergie de l’attaque » il a été cité à l’ordre du jour de la brigade, le 7 janvier 1937 à Algora, parce que, dit-il, « j’ai déchargé les munitions de sur les mulets avant le barrage d’artillerie et j’aitait volontaire ».

Après 5 mois de convalescence en France, il revient en Espagne le 26 novembre 1937. Suite à son passage devant la commission médicale, il est affecté aux services auxiliaires, à l’arrière.

Une note signée du chef de section Maranzé (orthographe incertaine) datée du 13 décembre 1937, indique qu’il est « actuellement à la banque d’Espagne en attendant une affectation comme cuisinier ».

A compter du 19 février 1938 et jusqu’au 22 septembre, il est affecté à la 14e BI, 1er Bataillon (Commune de Paris), 3e Compagnie, 3e Section.

André Cadot a participé aux batailles du front du centre, Guadalajara, Caspe, Campredo, Sierra de Caballs.

A la question du rôle des BI, sur le formulaire de rapatriement, André Cadot répond:

« nous avons fait un travaille d’avant-garde et de solidarité avec le front populaire espagnol. Je ne pense que du bien des brigades ».

Source

RGASPI (BDIC, Mfm 880/8, 545.6.1106)