COVO Sarah : Différence entre versions

De Encyclopédie : Brigades Internationales,volontaires français et immigrés en Espagne (1936-1939)
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RGASPI (BDIC, Mfm 880/10).
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RGASPI (BDIC, Mfm 880/10) et (Moscou, F. 545. Op.2 D.112 et Op.6 D.1038).
  
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Version du 30 septembre 2018 à 17:56

Sarah Covo est née, dans une famille séfarade de nationalité française, le 27 mai 1907 à Constantinople (Turquie). La famille était établie en Bulgarie qu’elle a quittée en mars 1929 pour rejoindre la France.

D’un niveau d’instruction primaire, elle parlait le bulgare, le français et l’espagnol. Elle a suivi les cours de l’Université Ouvrière de Paris et lu des œuvres de Dimitroff, Lénine, Thorez, Marty et Marx.

Couturière de profession, elle a travaillé chez le fabricant de poupées Raynal (1932-1933). En 1933 et 1934, elle a connu une période de chômage. Puis elle est entrée aux usines Renault où elle gagnait 8,25 francs de l’heure. Elle était membre de la CGT et du Comité Mondial des femmes.

En juin 1936, elle a adhéré au PCF. Lors de son départ pour l’Espagne, elle habitait rue de Solferino à Boulogne-Billancourt (Seine).

Son frère, César Covo, était parti en Espagne fin octobre 1936.

L’Espagne

Sarah Covo passe la frontière à Port-Bou avec un groupe d'Espagnols le 9 décembre 1937.

Elle va en Espagne pour aider, en tant que traductrice, à la composition d'un bulletin en langue bulgare.

A la dissolution de ce service, elle est nommée au service culturel du Centre de rééducation de Mahora. Elle est affectée, ensuite, comme aide-soignante à l’hôpital de S’Agaro.

Malade du cœur, elle est rapatriée en juillet 1938.

SOURCES

RGASPI (BDIC, Mfm 880/10) et (Moscou, F. 545. Op.2 D.112 et Op.6 D.1038).