TABERLET Aimé : Différence entre versions
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Il a lu les 13 points du Gouvernement d’Union Nationale de [[Negrin]] et il pense « qu’il son tres bien » et il est favorable à la politique du Front Populaire en Espagne « pour la justice avec laquelle elle à frapper les traitres à leur pays. » | Il a lu les 13 points du Gouvernement d’Union Nationale de [[Negrin]] et il pense « qu’il son tres bien » et il est favorable à la politique du Front Populaire en Espagne « pour la justice avec laquelle elle à frapper les traitres à leur pays. » | ||
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Il figure sur la liste des volontaires rapatriés le 12 novembre 1938 se rendant à Annecy. | Il figure sur la liste des volontaires rapatriés le 12 novembre 1938 se rendant à Annecy. | ||
==Sources== | ==Sources== | ||
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Version du 21 mai 2018 à 18:23
Aimé Taberlet est né 20 mai 1912 à Annecy (Haute-Savoie).
Il était employé d’hôtel et demeurait à Annecy. Il part pour l'Espagne avec son frère Clovis TABERLET.
l’Espagne
Il arrive en Espagne le 23 décembre 1936.
Affecté à la 15e BI, il est blessé à la tête le 18 février 1937 « en sortant de la tranchée pour un bond en avant » sur le front du Jarama. Il est soigné, pendant deux mois, d’abord à l’hôpital « Universidad » de Murcia, puis a l’ « hospital de Sangre n° 2 » d’Elche.
Affecté au service auxiliaire de Benissa, il est muté comme cuisinier au groupe d’artillerie « Anna Pauker » de la 35e Division.
Il a lu les 13 points du Gouvernement d’Union Nationale de Negrin et il pense « qu’il son tres bien » et il est favorable à la politique du Front Populaire en Espagne « pour la justice avec laquelle elle à frapper les traitres à leur pays. »
Interrogé sur le rôle des Brigades Internationales, il répond qu’
« elles ons montré au Monde que l’on pouvai s’unir entre nationalité pour combattre le fascisme et la guerre. »
Dans le domaine politique, il a appris en Espagne
« à être plus vigilant et apporter à mon organisation les leçons d’unité du peuple espagnol et leur faire comprendre qu’une aide efficace et naissaicaire à l’Espagne si nous ne voulons succomber à notre tour à la domination du fascisme. Car c’est le sort qui est à chaque homme libre si nous ne sauvons pas l’Espagne le plus rapidement possible. »
Il n’a bénéficié d’aucune permission.
Un rapport, non daté ni signé émanant de l’Etat-Major du groupe Anna Pauker de la 35e Division indique « courageux au début dans l’Infanterie mais s’est changé après. » et qu’il est « un peu rouspéteur ».
Il figure sur la liste des volontaires rapatriés le 12 novembre 1938 se rendant à Annecy.
Sources
RGASPI (Moscou, F. 545. Op.6 D.1413).
AVER (MRN, archives de l’AVER, carton 28 bis)