PRADELOUX Guillaume : Différence entre versions

De Encyclopédie : Brigades Internationales,volontaires français et immigrés en Espagne (1936-1939)
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Il participe aux  combats de Caspe (voir [[Offensive franquiste d’Aragon]]) puis à ceux de  de l'Ebre où, le 22 septembre,  à Gandesa, il est blessé « au côté gauche ».
 
Il participe aux  combats de Caspe (voir [[Offensive franquiste d’Aragon]]) puis à ceux de  de l'Ebre où, le 22 septembre,  à Gandesa, il est blessé « au côté gauche ».
 
Hospitalisé à Mataró n° 7, il y reste jusqu'à sa démobilisation.
 
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Il connait les 13 points du Gouvernement d'Union Nationale présidé par [[Negrin]] et pense que sa politique est bonne et juste "parceque le gouvernement est énergique".
  
 
A la question,  posée sur le formulaire de rapatriement, "Que penses-tu des Brigades Internationales ?", il répond:
 
A la question,  posée sur le formulaire de rapatriement, "Que penses-tu des Brigades Internationales ?", il répond:
 
« elle on jouée un grand rôle il on permi au gouvernement de fondée une armée forte et dissiplinée ».
 
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Dans le domaine politique en Espagne, il a appris que "très bien pour l'unitée qui s'est réalisé".
  
 
Lors de sa démobilisation, il demande son retour à Gentilly.
 
Lors de sa démobilisation, il demande son retour à Gentilly.

Version du 8 février 2018 à 18:22

Guillaume Léon Pradeloux est né le 4 juillet 1902 à Chaumeil, commune de Pérols-sur-Vézère (Corrèze), d'un couple de cultivateurs, Michel et Marie.

Paveur de profession, il adhère au PCF en 1921, à la CGT en 1929 et au Secours rouge.

Avant son départ comme volontaire en Espagne républicaine, il était célibataire et demeurait 31, rue Pasteur à Gentilly (Seine).

L'Espagne

Après avoir franchi illégalement la frontière (voir article Passage clandestin des Pyrénées ) Guillaume Léon Pradeloux arrive, via Massanet, à Figueras le 3 mars 1938, avec 56 autres volontaires.

Après avoir été affecté au Bataillon Vaillant-Couturier, il est muté à la 1ère compagnie du Bataillon André Marty (O.J. du 17 avri 1938).

Il participe aux combats de Caspe (voir Offensive franquiste d’Aragon) puis à ceux de de l'Ebre où, le 22 septembre, à Gandesa, il est blessé « au côté gauche ». Hospitalisé à Mataró n° 7, il y reste jusqu'à sa démobilisation.

Il connait les 13 points du Gouvernement d'Union Nationale présidé par Negrin et pense que sa politique est bonne et juste "parceque le gouvernement est énergique".

A la question, posée sur le formulaire de rapatriement, "Que penses-tu des Brigades Internationales ?", il répond: « elle on jouée un grand rôle il on permi au gouvernement de fondée une armée forte et dissiplinée ».

Dans le domaine politique en Espagne, il a appris que "très bien pour l'unitée qui s'est réalisé".

Lors de sa démobilisation, il demande son retour à Gentilly.

Après avoir pris sa retraite en tant qu'ouvrier agricole, Léon Pradeloux est mort à Ussel (Corrèze) le 25 mai 1990.

Sources

RGASPI (Moscou, F545 Op6 D36 et D1358) Eva Leger et Tiphaine Catalan, Les répercussions de la guerre d’Espagne en Limousin : des premiers échos à l’accueil des réfugiés (pp 160-170, « Le front populaire en Limousin »), Limoges, les Ardents Editeurs, 2016.

Archives départementales de Corrèze (Etat civil).