CAUBET Alfred : Différence entre versions

De Encyclopédie : Brigades Internationales,volontaires français et immigrés en Espagne (1936-1939)
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Alfred Caubet est probablement né en 1918 (âgé de 20 ans) et a vécu en France, en Andorre et en Espagne où il est arrivé en avril 1926.
 
Alfred Caubet est probablement né en 1918 (âgé de 20 ans) et a vécu en France, en Andorre et en Espagne où il est arrivé en avril 1926.
  
Boucher charcutier, il était adhèrent de la CGT en France et de la CNT en Espagne.
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Boucher-charcutier, il était adhèrent de la CGT en France et de la CNT en Espagne.
  
En Espagne, il était domicilié chez sa mère Josepha Sausa à Olot (province de Gérone) avec laquelle il tient un commerce.
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En Espagne, il était domicilié chez sa mère Josefa Sausa à Olot (province de Gérone) avec laquelle il tenait un commerce.
 
==L’Espagne==
 
==L’Espagne==
Comme soldat, il est affecté, à une date non connue, à la 13e BI, 1er bataillon, état-major.
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A une date non connue, il est affecté comme soldat à la 13<sup>e</sup> BI, état-major du 1<sup>er</sup> Bataillon.
  
Durant ses 3 mois passé au front, il prend part aux batailles de Corbera, Sierra de Pandols, Gandesa, Sierra Caballs
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Durant 3 mois passés au front, il prend part aux batailles de Corbera, Sierra de Pandols, Gandesa, Sierra Caballs
 
Blessé le 8 août 1938, lors des combats de la Sierra Caballs « en allant apporter un plie », il est hospitalisé pendant deux mois à Cambrils, Taragona, Barcelone (hôpital Romania) et à Vich.
 
Blessé le 8 août 1938, lors des combats de la Sierra Caballs « en allant apporter un plie », il est hospitalisé pendant deux mois à Cambrils, Taragona, Barcelone (hôpital Romania) et à Vich.
  
 
« Pour le bon comportement au front », il est félicité par ses chefs « vers le 10 ou le 15 juillet 1938 » et cité à l’ordre du jour de son unité.
 
« Pour le bon comportement au front », il est félicité par ses chefs « vers le 10 ou le 15 juillet 1938 » et cité à l’ordre du jour de son unité.
Sur le formulaire de rapatriement du 2 novembre 1938, il donne son avis sur le front populaire qu’il considère comme la « seule arme positive du peuple ».
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Sur le formulaire de rapatriement du 2 novembre 1938, il donne son avis sur le Front populaire qu’il considère comme la « seule arme positive du peuple ».
  
A la question qu’as-tu appris en particulier dans le domaine politique ou militaire depuis que tu es en Espagne ? Il répond: <blockquote>« mes conaisences aquises, sur le domaine politique c’est que nous avons pu faire fasse aux hinvahisseurs grace 1er a l’unité dans le front populaire solide et 2nd [à] l’armée du peuple forte et [avec un] commandement unique ».</blockquote>
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A la question : « Qu’as-tu appris de particulier dans le domaine politique ou militaire depuis que tu es en Espagne ? », il répond: <blockquote>« mes conaisences aquises, sur le domaine politique c’est que nous avons pu faire fasse aux hinvahisseurs grace 1er a l’unité dans le front populaire solide et 2nd [à] l’armée du peuple forte et [avec un] commandement unique ».</blockquote>
  
Il souhaite être rapatrié auprès de sa famille à Banyuls-sur-Mer.  
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Il souhaite être rapatrié auprès de sa famille à Banyuls-sur-Mer (Pyrénées-Orientales).  
 
==Sources==
 
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RGASPI (BDIC, Mfm 880/8, 545.6.1113)  
 
RGASPI (BDIC, Mfm 880/8, 545.6.1113)  
 
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Version du 30 novembre 2017 à 19:39

Alfred Caubet est probablement né en 1918 (âgé de 20 ans) et a vécu en France, en Andorre et en Espagne où il est arrivé en avril 1926.

Boucher-charcutier, il était adhèrent de la CGT en France et de la CNT en Espagne.

En Espagne, il était domicilié chez sa mère Josefa Sausa à Olot (province de Gérone) avec laquelle il tenait un commerce.

L’Espagne

A une date non connue, il est affecté comme soldat à la 13e BI, état-major du 1er Bataillon.

Durant 3 mois passés au front, il prend part aux batailles de Corbera, Sierra de Pandols, Gandesa, Sierra Caballs Blessé le 8 août 1938, lors des combats de la Sierra Caballs « en allant apporter un plie », il est hospitalisé pendant deux mois à Cambrils, Taragona, Barcelone (hôpital Romania) et à Vich.

« Pour le bon comportement au front », il est félicité par ses chefs « vers le 10 ou le 15 juillet 1938 » et cité à l’ordre du jour de son unité. Sur le formulaire de rapatriement du 2 novembre 1938, il donne son avis sur le Front populaire qu’il considère comme la « seule arme positive du peuple ».

A la question : « Qu’as-tu appris de particulier dans le domaine politique ou militaire depuis que tu es en Espagne ? », il répond:

« mes conaisences aquises, sur le domaine politique c’est que nous avons pu faire fasse aux hinvahisseurs grace 1er a l’unité dans le front populaire solide et 2nd [à] l’armée du peuple forte et [avec un] commandement unique ».

Il souhaite être rapatrié auprès de sa famille à Banyuls-sur-Mer (Pyrénées-Orientales).

Sources

RGASPI (BDIC, Mfm 880/8, 545.6.1113)