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De Encyclopédie : Brigades Internationales,volontaires français et immigrés en Espagne (1936-1939)
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Voici le témoignage d’Anne-Marie Mingat-Lerme, résistante, sur sa jeunesse (elle avait 18 ans en 1936) à Domène :
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Voici le témoignage d’Anne-Marie Mingat-Lerme, résistante, sur sa jeunesse (elle avait 18 ans en 1936) à Domène (Isère) :
  
 
« Lorsque survint la guerre d’Espagne, nombreux furent les volontaires doménois qui partirent se battre du côté des Républicains car beaucoup de travailleurs d’origine espagnole vivaient à Domène et à Lancey, où existait même une « cité d’Espagne ». Tout de suite, je fus embrigadée : j’effectuai des collectes en faveur des anti-franquistes pour leur envoyer des colis et pour soutenir les familles des volontaires doménois partis en Espagne. La fin de cette guerre fut tragique, nombre de réfugiés arrivèrent à Domène et je poursuivis mon action d’aide. » (p 66)
 
« Lorsque survint la guerre d’Espagne, nombreux furent les volontaires doménois qui partirent se battre du côté des Républicains car beaucoup de travailleurs d’origine espagnole vivaient à Domène et à Lancey, où existait même une « cité d’Espagne ». Tout de suite, je fus embrigadée : j’effectuai des collectes en faveur des anti-franquistes pour leur envoyer des colis et pour soutenir les familles des volontaires doménois partis en Espagne. La fin de cette guerre fut tragique, nombre de réfugiés arrivèrent à Domène et je poursuivis mon action d’aide. » (p 66)
‘’Un combat pour la Liberté’’ ( ’’Etre jeune en Isère (1939 – 1945’’), collection Mémoires du XXe siècle), L’Harmattan, 2021
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‘’Un combat pour la Liberté’’ ( ’’Etre jeune en Isère (1939 – 1945’’), collection Mémoires du XX<sup>e</sup> siècle), L’Harmattan, 2021
  
Selon le témoignage de Jean Porcel (neveu de [[VICTORIA VICIEDO_Jean|Jean VICTORIA VICIEDO]]), pendant l’été 1936, un groupe de quatre espagnols sont partis de cette petite ville. Il s’agissait de Jean Victoria, Francisco Silvestre Sanchez, et de deux autres dont nous ne connaissons qu’un des noms de famille Granados et Perez.
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Selon le témoignage de Jean Porcel (neveu de [[VICTORIA VICIEDO_Jean|Jean VICTORIA VICIEDO]]), pendant l’été 1936, un groupe de quatre Espagnols sont partis de cette petite ville. Il s’agissait de Jean Victoria, Francisco Silvestre Sanchez, et de deux autres dont nous ne connaissons qu’un des noms de famille Granados et Perez.
 
[[Catégorie: Isère]]
 
[[Catégorie: Isère]]

Version actuelle datée du 13 février 2022 à 11:22

Voici le témoignage d’Anne-Marie Mingat-Lerme, résistante, sur sa jeunesse (elle avait 18 ans en 1936) à Domène (Isère) :

« Lorsque survint la guerre d’Espagne, nombreux furent les volontaires doménois qui partirent se battre du côté des Républicains car beaucoup de travailleurs d’origine espagnole vivaient à Domène et à Lancey, où existait même une « cité d’Espagne ». Tout de suite, je fus embrigadée : j’effectuai des collectes en faveur des anti-franquistes pour leur envoyer des colis et pour soutenir les familles des volontaires doménois partis en Espagne. La fin de cette guerre fut tragique, nombre de réfugiés arrivèrent à Domène et je poursuivis mon action d’aide. » (p 66) ‘’Un combat pour la Liberté’’ ( ’’Etre jeune en Isère (1939 – 1945’’), collection Mémoires du XXe siècle), L’Harmattan, 2021

Selon le témoignage de Jean Porcel (neveu de Jean VICTORIA VICIEDO), pendant l’été 1936, un groupe de quatre Espagnols sont partis de cette petite ville. Il s’agissait de Jean Victoria, Francisco Silvestre Sanchez, et de deux autres dont nous ne connaissons qu’un des noms de famille Granados et Perez.

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