COMISECK Jean : Différence entre versions
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| − | Le 30 octobre 1937, il est muté au [[Bataillon Domingo Germinal]] (OJ n° 218) puis au service transport de la 14<sup>e</sup> BI Bis. A la dissolution de celle-ci, officiellement le 17 janvier 1938, il est affecté, le 20 | + | Le 30 octobre 1937, il est muté au [[Bataillon Domingo Germinal]] (OJ n° 218) puis au service transport de la 14<sup>e</sup> BI Bis. A la dissolution de celle-ci, officiellement le 17 janvier 1938, il est affecté, le 20, avec [[GREUSARD_Robert|Robert GREUSARD (voir la biographie de ce volontaire)]], au service des transports de la 14<sup>e</sup> BI. (OJ n° 278 et 279). |
| − | Le 29 janvier | + | Le 29 janvier, il est relevé de ses fonctions et muté à la Compagnie des dépôts au motif qu’il « ne montre aucune activité dans son travail ». (OJ n° 286) |
Le 10 février 1938, il est envoyé à la base d’Albacete pour une autre affectation (« italien » sans autre précision) (OJ n° 295). Avant son départ pour la France, il était affecté au Bataillon de fortification. | Le 10 février 1938, il est envoyé à la base d’Albacete pour une autre affectation (« italien » sans autre précision) (OJ n° 295). Avant son départ pour la France, il était affecté au Bataillon de fortification. | ||
Version actuelle datée du 2 avril 2021 à 17:46
Arrivé en Espagne à une date non connue, Jean Comiseck est affecté au service des transports de la 14e BI.
Le 30 octobre 1937, il est muté au Bataillon Domingo Germinal (OJ n° 218) puis au service transport de la 14e BI Bis. A la dissolution de celle-ci, officiellement le 17 janvier 1938, il est affecté, le 20, avec Robert GREUSARD (voir la biographie de ce volontaire), au service des transports de la 14e BI. (OJ n° 278 et 279).
Le 29 janvier, il est relevé de ses fonctions et muté à la Compagnie des dépôts au motif qu’il « ne montre aucune activité dans son travail ». (OJ n° 286) Le 10 février 1938, il est envoyé à la base d’Albacete pour une autre affectation (« italien » sans autre précision) (OJ n° 295). Avant son départ pour la France, il était affecté au Bataillon de fortification.
Une fiche d’appréciation du PCE, non datée et non signée, précise qu’il n’est pas membre du PC, que sa conduite en Espagne a été mauvaise, et que l’opinion courante parmi ses camarades n’est pas très bonne. Une mention manuscrite indique « déserteur désorganisateur ». (Voir la catégorie Discipline et ses articles).
Jean Comiseck est rapatrié en France en décembre 1938.
Sources
RGASPI (Moscou, F. 545. Op. 3. D. 367, D. 369, Op. 6. D. 1044, D. 1130)
