BLANDEAU Louis : Différence entre versions
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Il est blessé par balle à la hanche droite, le 19 novembre 1936, à Villanueva de la Cañada (Front de Madrid) et hospitalisé jusqu'en juin 1937. Il participe à la bataille de Brunete (juillet 1937). | Il est blessé par balle à la hanche droite, le 19 novembre 1936, à Villanueva de la Cañada (Front de Madrid) et hospitalisé jusqu'en juin 1937. Il participe à la bataille de Brunete (juillet 1937). | ||
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| − | Au retour, il rejoint sa | + | Au retour, il rejoint sa Brigade et combat sur le front de l’Ebre. |
Selon les appréciations du Commandant et du Commissaire politique, il s’agit d’un "Camarade de bonne volonté et de bon moral". | Selon les appréciations du Commandant et du Commissaire politique, il s’agit d’un "Camarade de bonne volonté et de bon moral". | ||
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| − | RGASPI (BDIC 880/6, 545-6-1083) | + | RGASPI (BDIC, Mfm 880/6, 545-6-1083). |
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Version actuelle datée du 19 octobre 2018 à 19:13
Le volontaire Louis Blandeau est né le 3 octobre 1913.
Mobilisé, il a effectué son service militaire de 1931 à 1933 au 150e RI, dans les transmissions.
Célibataire, il demeurait 70, rue des Amandiers à Paris 20e.
Lors de son départ pour l'Espagne, il exerçait la profession de polisseur-métallurgiste. Il était syndiqué à la CGT et membre du PCF (secrétaire de cellule) depuis 1928.
L’ Espagne
Il arrive en Espagne le 12 septembre 1936 et est affecté le 14 à la Div. Karl Marx, Bataillon Graells, de l'Armée Populaire.
Il est blessé par balle à la hanche droite, le 19 novembre 1936, à Villanueva de la Cañada (Front de Madrid) et hospitalisé jusqu'en juin 1937. Il participe à la bataille de Brunete (juillet 1937).
Le 15 juillet 1937, il est muté à la 14e BI, 9e Bataillon («Commune de Paris ») comme soldat puis comme téléphoniste, à partir du 10 mai 1938.
Avec cette unité, il prend part aux combats sur le front de Santa Maria de la Alameda (juin-25 septembre 1937).Il bénéficie alors d'une permission en France du 28/9/37 au 10/5/38.
Au retour, il rejoint sa Brigade et combat sur le front de l’Ebre.
Selon les appréciations du Commandant et du Commissaire politique, il s’agit d’un "Camarade de bonne volonté et de bon moral".
Source
RGASPI (BDIC, Mfm 880/6, 545-6-1083).
