BARBE Théophile : Différence entre versions
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| + | Il a effectué son service militaire dans l'Artillerie. | ||
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| + | Le 7 février 1925, il épouse Henriette Jeannin à Champigny-sur-Marne. Il s'est remarié le 14 août 1930, également à Champigny. | ||
Chauffeur, il était membre de la CGT. | Chauffeur, il était membre de la CGT. | ||
| − | Marié, un enfant, il demeurait 78 Boulevard de la Gare à Champigny-sur-Marne (Seine). | + | Marié, père d'un enfant, il demeurait 78, Boulevard de la Gare à Champigny-sur-Marne (Seine). |
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| − | Après avoir franchi illégalement la frontière (voir article [[Passage clandestin des Pyrénées]], il rejoint avec deux autres volontaires campinois, [[BENOIST_Jules|Jules BENOIST]] et [[BONDOUY_Emile|Emile BONDOUY]] (voir les biographies de ces volontaires) | + | Après avoir franchi illégalement la frontière (voir article [[Passage clandestin des Pyrénées]], il rejoint [[Figueras]], via Setcases, le 24 septembre 1937, avec deux autres volontaires campinois, [[BENOIST_Jules|Jules BENOIST]] et [[BONDOUY_Emile|Emile BONDOUY]] (voir les biographies de ces volontaires). |
| − | Affecté d’abord au bataillon d’instruction de la | + | Affecté d’abord au bataillon d’instruction de la 14<sup>e</sup> BI, il est ensuite transféré, en septembre 1937, au 2<sup>e</sup> Groupe d’Artillerie lourde, puis le 6 septembre 1938 au 4<sup>e</sup> Groupe de la Batterie Française. |
Il pense que les Brigades Internationales ont « aidé à former la nouvelle armée populaire espagnole ». | Il pense que les Brigades Internationales ont « aidé à former la nouvelle armée populaire espagnole ». | ||
| − | Une note le qualifie de « Buen camarada. Bastante disciplinado (intemperancia) ». | + | Une note le qualifie de « Buen camarada. Bastante disciplinado (intemperancia) ». [« Bon camarade. Assez discipliné (intempérance »] |
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| + | Son nom figure sur l'inventaire général de la cartothèque du 5 mai 1938, sous le n° 214 avec les mentions « 37 ans, observation AF (voir [[BAO]])». | ||
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| + | Théophile Barbe est décédé le 22 juin 1973 à Paris, dans le 20<sup>e</sup> arrondissement. | ||
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==Sources== | ==Sources== | ||
| − | RGASPI (Moscou, F.545 Op.6 D. 35 et D.1064) | + | RGASPI (Moscou, F. 545. Op. 3. D. 765 et Op. 6. D. 35. D. 44. D. 1038 et D. 1064) - Archives départementales du Val-de-Marne, Etat Civil, cote 2MI 158/3 -MRN (Archives de l’[[AVER]]). |
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Théophile Barbe est né le 8 janvier 1901 à Champigny-sur-Marne (Seine). Son père, Adrien, était ébéniste et sa mère, Marie Cathière, cuisinière.
Il a effectué son service militaire dans l'Artillerie.
Le 7 février 1925, il épouse Henriette Jeannin à Champigny-sur-Marne. Il s'est remarié le 14 août 1930, également à Champigny.
Chauffeur, il était membre de la CGT.
Marié, père d'un enfant, il demeurait 78, Boulevard de la Gare à Champigny-sur-Marne (Seine).
L’Espagne
Après avoir franchi illégalement la frontière (voir article Passage clandestin des Pyrénées, il rejoint Figueras, via Setcases, le 24 septembre 1937, avec deux autres volontaires campinois, Jules BENOIST et Emile BONDOUY (voir les biographies de ces volontaires).
Affecté d’abord au bataillon d’instruction de la 14e BI, il est ensuite transféré, en septembre 1937, au 2e Groupe d’Artillerie lourde, puis le 6 septembre 1938 au 4e Groupe de la Batterie Française.
Il pense que les Brigades Internationales ont « aidé à former la nouvelle armée populaire espagnole ».
Une note le qualifie de « Buen camarada. Bastante disciplinado (intemperancia) ». [« Bon camarade. Assez discipliné (intempérance »]
Lors du Retrait des Brigades Internationales Negrin il est retiré du front d'Extremadura le 4 septembre 1938 et rejoint le centre de regroupement de Puebla Larga le 17 novembre.
Son nom figure sur l'inventaire général de la cartothèque du 5 mai 1938, sous le n° 214 avec les mentions « 37 ans, observation AF (voir BAO)».
Théophile Barbe est décédé le 22 juin 1973 à Paris, dans le 20e arrondissement.
Sources
RGASPI (Moscou, F. 545. Op. 3. D. 765 et Op. 6. D. 35. D. 44. D. 1038 et D. 1064) - Archives départementales du Val-de-Marne, Etat Civil, cote 2MI 158/3 -MRN (Archives de l’AVER).
