Catégorie:Femmes : Différence entre versions
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Elles se battent côte à côte avec les hommes dans les milices. | Elles se battent côte à côte avec les hommes dans les milices. | ||
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A partir d’octobre 1936, avec la réorganisation des milices et la création de l’Armée Populaire, les femmes ne vont plus combattre. | A partir d’octobre 1936, avec la réorganisation des milices et la création de l’Armée Populaire, les femmes ne vont plus combattre. | ||
− | Les femmes françaises qui vont rejoindre les Brigades internationales, | + | Les femmes françaises qui vont rejoindre les Brigades internationales, créées en septembre mais dont le premier convoi de volontaires arrive la 13 octobre à Albacete, vont être employées dans les services administratifs ou dans les services sanitaires comme médecins ou infirmières.[[Fichier:Affiche_femme_2.png|130px|thumb|right]] |
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Il faudrait associer, aussi, ces milliers de femmes anonymes qui vont soutenir le combat des volontaires en devenant « marraines », en envoyant des colis, en collectant des vêtements, des médicaments, des livres, des cigarettes… | Il faudrait associer, aussi, ces milliers de femmes anonymes qui vont soutenir le combat des volontaires en devenant « marraines », en envoyant des colis, en collectant des vêtements, des médicaments, des livres, des cigarettes… | ||
− | Certaines | + | Certaines vont faire partie de délégations qui se rendent sur place pour accompagner les envois et montrer leur solidarité avec les volontaires et le peuple espagnol, quitte à en mourir, comme Agnès Dumay tuée lors d’un bombardement, à Madrid, le 2 novembre 1938. |
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Version actuelle datée du 30 mai 2024 à 17:34
Dans les premiers jours de l’insurrection franquiste, la France découvre des femmes en bleu de travail (les fameux « monos ») et le fusil à la main : ce sont les miliciennes. Les photos de miliciennes vont faire le tour du monde.
Elles se battent côte à côte avec les hommes dans les milices. Le 5e Régiment (« El Quinto Regimiento »), a même un bataillon spécifiquement féminin qui, dès les premiers jours, s’en va combattre dans la Sierra madrilène.
En France, quelques Françaises vont, très tôt, rejoindre les milices. La plus connue est certainement Simone Weil (1909-1943) qui s’engage dans une colonne anarchiste en août 1936.
A partir d’octobre 1936, avec la réorganisation des milices et la création de l’Armée Populaire, les femmes ne vont plus combattre.
Les femmes françaises qui vont rejoindre les Brigades internationales, créées en septembre mais dont le premier convoi de volontaires arrive la 13 octobre à Albacete, vont être employées dans les services administratifs ou dans les services sanitaires comme médecins ou infirmières.
Nous ne connaissons pas actuellement leur nombre.
Il faudrait associer, aussi, ces milliers de femmes anonymes qui vont soutenir le combat des volontaires en devenant « marraines », en envoyant des colis, en collectant des vêtements, des médicaments, des livres, des cigarettes…
Certaines vont faire partie de délégations qui se rendent sur place pour accompagner les envois et montrer leur solidarité avec les volontaires et le peuple espagnol, quitte à en mourir, comme Agnès Dumay tuée lors d’un bombardement, à Madrid, le 2 novembre 1938.
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